• Coincé dans les étaux,

    De nos doigts enlacés,

    La peau lacérée,

    Agonissant sans un mot .

     

    Succombant aux péchés,

    Qui ne devraient être goûter !

    Une gourmandise sucré .

    Comme la pomme ensanglanté ,

     

    De la belle princesse endormi ;

    Qui ne peut se réveiller,

    Sans le baiser ,

    D'un prince aguerri .

     

    Puis passant les banalités ,

    La patience faisant faux-bon ,

    La passion en pleine action .

    Le plaisir honteux caressé ,

     

    Par de belles mains halés ;

    Effleurant notre nudité,

    Nous berçant par la douceur ,

    Et par les battements de nos cœurs.

     

     


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  •  

    Ne faisant plus attention à la lourdeur de mon cœur , tu l'as tiré avec temps d'ardeur , que j'ai crié un crie de terreur . Avant de te rencontré , j'étais une âme libéré sans bouée pour m'accrocher . Je me contenté de tout remettre au lendemain , comme si la terre tournée entre mes mains. J'ai connu des jours meilleurs , sans tout ce malheur . Un jour peut être , je me réveillerais comme si rien ne s'était passée , comme si mes larmes n'étaient jamais coulées , comme si ma gorge n'était pas irrité habituer à te crier dessus ,que ma voix résonne dans tes oreilles , non comme un bourdonnement d'abeille . Je veux t'entendre dire que je suis sans pareille . Que notre amour n'est pas comme le vent qui bouge les feuilles mais comme les feuilles qui bougent grâce au vent . Je veux t'entendre dire que je n'ai aucun prix car je suis ton prix . Je ne t'ai pas arrêté avant de te regarder jouer avec mon cœur puis te tirer avec tes erreurs. Tu es juste un petit joueur .Je suis aussi briser qu'un vase qui vient de tombé dans la salle à manger . Tu étais la basse qui frôler mes doigts de mes sentiments pour toi . J'aimerais avoir le courage de te prendre entre quatre yeux et de te chanter toute la chaleur et la froideur que tu as apporté au plus profond de mon cœur . Je croyais que tu serais l'homme qui m'aurait sauver de ce monde d'une grande laideur , que tu étais mon sauveur ...


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  • Là où ma vie s'écroule ,

    Mes larmes s'écoulent,

    Un torrent dévalant,

    Les rives du temps.

     

    La tête retournée ,

    Je fais en sorte ,

    De ne plus te désirer .

    Que le vent m'emporte ,

     

    Loin de tes délicates caresses.

    Qui me hante s'en cesse ;

    Qui me font blêmir ;

    Qui me font frémir ;

     

    J'ai comme une envie de m'enfuir ,

    Sans jamais revenir.

    Pour enfin ne plus t'appartenir ,

     Et ne plus rien ressentir .


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  • Sur les chemins de l'amitié ,

    Nos doigts se sont enlacés .

    Tes prunelles foncées m'ont ensorcelé,

    Pour le reste de l'éternité .

     

    La chaleur embrumant mon cœur,

    Ainsi que la moindre de mes peurs .

    C'est la découverte de mon âme sœur !

    Une déferlante sensation de bonheur .

     

    Est-ce notre bon ami cupidon,

    Qui aurait permis notre union ?

    Recollant nos deux flèches cassées ,

    Pour les seller en une entité!

     

    Aujourd'hui liés à jamais ,

    Je remercie ton talent inné ,

    A pouvoir déceler ,

    Le moindre de mes secrets !


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  • Ange noir remplit d'espoir,

    Couvert par l'ombre pur ,

    De mes pensées obscures,

    Éclairant mon territoire.

     

    La clarté réfléchissant ton âme ,

    Pendant que la mienne se désarme ,

    Face à la splendeur ,

    D'un homme au sourire ravageur ;

     

    La blancheur de ta pudeur ,

    La noirceur de mon malheur,

    Régnant en bataille dans mon cœur !

     

    Les ténèbres fleurissant l'avenir ,

    Dans ma rose malade du souvenir .

     Je ne laisserais aucune bouture s'enfuir !


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